Ecris l'histoire...

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance. Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible ! dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
- On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal ! Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution !
Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
- Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses, je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur !
Le batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille. Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
- C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance. Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible ! dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
- On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal ! Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution !
Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
- Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses, je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur !
Le batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille. Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
- C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !
- Ah ! Mais tu oses te moquer de moi ?! fit le serpent avec colère, tu vas le payer !
Et le serpent fila vers la grenouille à toute allure...

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance. Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible ! dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
- On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal ! Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution !
Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
- Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses, je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur !
Le batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille. Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
- C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !
- Ah ! Mais tu oses te moquer de moi ?! fit le serpent avec colère, tu vas le payer !
Et le serpent fila vers la grenouille à toute allure ... Sauf qu'elle ne bougea pas, ou plutôt, elle n'alla pas vers la grenouille. En fait, la couleuvre se rendit compte qu'elle volait !

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient
rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance.
Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait
pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux
pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible !
dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la
grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
-
On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le
batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal !
Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper
les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très
têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne
voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle
bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi
encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution !
Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
-
Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses,
je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la
grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur !
Le
batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était
sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses
yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à
la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit
qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille.
Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la
grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme
secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
-
C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa
respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !
- Ah ! Mais tu oses te moquer de moi ?! fit le serpent avec colère, tu vas le payer !
Et le serpent fila vers la grenouille à toute allure ... Sauf
qu'elle ne bougea pas, ou plutôt, elle n'alla pas vers la grenouille.
En fait, la couleuvre se rendit compte qu'elle volait !
Et oui ! Avec l'extraordinaire force de ses ailes, le papillon avait transpercé la peau du serpent sans qu'il s'en aperçoive et commençait à battre des ailes.

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance. Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible ! dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
- On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal ! Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution ! Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
- Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses, je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur ! Le batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille. Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la
grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
- C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !
- Ah ! Mais tu oses te moquer de moi ?! fit le serpent avec colère, tu vas le payer !
Et le serpent fila vers la grenouille à toute allure ... Sauf qu'elle ne bougea pas, ou plutôt, elle n'alla pas vers la grenouille.
En fait, la couleuvre se rendit compte qu'elle volait !
Et oui ! Avec l'extraordinaire force de ses ailes, le papillon avait transpercé la peau du serpent sans qu'il s'en aperçoive et commençait à battre des ailes.
Lorsque la couleuvre fut assez haut et loin du point d'eau, le papillon cessa de battre des ailes et s'extirpa comme il put du serpent terrorisé.

Ca fait longtemps, dis-donc^^

Il était une fois une grenouille et un papillon. Deux être qui n'avaient rien en commun mais qui étaient amis depuis leur plus tendre enfance. Un jour, la grenouille fit une chose folle que le papillon n'approuvait pas du tout : elle voulu apprendre à voler !
- Mais c'est dangereux pour quelqu'un qui n'a pas d'ailes ! Dangereux et surtout impossible ! dit le papillon, qui s'était posé sur une branche proche de la grenouille.
- Mais rien n'est impossible, mon cher ami, fit la grenouille.
- Ma chère, si tu arrives à voler, je me coupe les ailes, fit la papillon avec colère
- On voit que tu ne sais pas ce que tu dis, affirma calmement le batracien, et surtout, que tu ne connais pas Mister Good Deal ! Retires-tu ce que tu viens de dire avant de devoir vraiment te couper les ailes ? Ce que je veux vraiment faire, je le fais. Je suis très têtue !
- L'ennui, c'est que moi aussi je suis très têtu ! Je ne voudrais que tu te fasse mal en cherchant à faire je ne sais quelle bêtise, bougonna la papillon. Une grenouille qui vole ! Et puis quoi encore ?
- Les poules voudront avoir des dents, plus tard. C'est ça, l'évolution ! Puis la grenouille "éclata de rire" en voyant la réaction du papillon. Ce dernier, vexé, fit mine de vouloir s'envoler au loin.
- Ne t'en va pas, mon ami ! Ne te vexe pas ! Vois le bon côté des choses, je pourrais voler avec toi, lorsque j'aurais de belles ailes ! fit la grenouille, désespérée de voir le papillon s'en aller.
- Je reviendrai vers toi quand tu seras revenu à la raison, cria la papillon, déjà loin.
- Quel mauvais caractère il a, ce papillon !
Et la grenouille repartit pour trouver son repas lorsqu'elle vit une couleuvre s'approchait d'elle doucement. Malheur ! Le batracien était si pétrifié qu'il n'osait bouger ; la couleuvre était sur le point d'attaquer lorsque... La grenouille n'en croyait pas ses yeux ! Le papillon arrivait le plus vite qu'il pouvait et se mit face à la terrifiante bête pour défendre son amie !
La couleuvre ne fit qu'une bouché du papillon puis elle se tourna vers la grenouille. Soudain, alors que l'horrible monstre s'apprêtait à dévorer la
grenouille terrifiée, elle se mit à s'agiter dans tout les sens comme secouée de spasmes ou de fous rire ...
- Mais que te fais donc rire de cette manière ? lui demanda le serpent, étonné.
- C'est que, dit la grenouille lorsqu'elle réussit à reprendre sa respiration, je n'avais encore jamais vu de couleuvre à sonnette !
- Ah ! Mais tu oses te moquer de moi ?! fit le serpent avec colère, tu vas le payer !
Et le serpent fila vers la grenouille à toute allure ... Sauf qu'elle ne bougea pas, ou plutôt, elle n'alla pas vers la grenouille.
En fait, la couleuvre se rendit compte qu'elle volait !
Et oui ! Avec l'extraordinaire force de ses ailes, le papillon avait transpercé la peau du serpent sans qu'il s'en aperçoive et commençait à battre des ailes.
Lorsque la couleuvre fut assez haut et loin du point d'eau, le papillon cessa de battre des ailes et s'extirpa comme il put du serpent terrorisé. Ce dernier tomba comme une pierre. Le papillon revint gaiement vers son amie.